BOKOBSA Myriam Marie

De la part de Claude FITOUSSI
- Avec la disparition de tata Marie, c’est le dernier regard de mon enfance qui s’en est allé. Enfance douce, embaumée de jasmin, avec nos voisins non encore excités par leur indépendance. Arrivés en France en janvier 1958 avec nos chers parents, six garçons et pépé Fradji. Maman avec notre sœur préférée dans le ventre. Accueillis à Argenteuil et repartis entre mémé Maissa et ses enfants pendant plus d’une année en attendant notre premier appartement au 58 rue Pixérécourt. Tonton Kacou et tata Marie, c’était un très beau couple. Ils ont mis David sur les rails du travail. Toutes mes affectueuses pensées à leur enfants et petits-enfants.